Pornichet, Descente aux enfers

Par Jérémie RABILLER, Délégué Départemental
Club Nouveau Siècle Atlantique

Devant le silence de l’UMP dispersée, Belliot fait dire à son entourage qu’il briguerait la députation en 2012 si on ne lui facilitait pas l’entrée à Cap Atlantique et si on ne lui garantissait pas sa réélection sous la bannière de la majorité présidentielle lors des élections municipales 2014.

Belliot est conscient que son attitude commence à indisposer les pornichétins et qu’il ne lui suffira plus des louanges de quelques dévotes énamourées pour retrouver un statut de chef de file.

Il ne faut pas se cacher que Pornichet descend aux enfers. C’est à coups d’emprunts que l’on masque les difficultés de fin d’année. Encore 3 millions € d’endettement au dernier conseil. Nous sommes passés de 3,5 à 9 ans d’endettement, soit 23 millions € de dettes cumulées en moins de 3 ans de gestion Belliot!

Pourtant, on continue à payer 30.000 € de conférences-spectacles à l’hippodrome avec petits fours et champagne organisées par un courtisan. Avec Belliot, tout fout le camp même le sable fibré de l’hippodrome pourtant protégé par des pompes payées 5,7 millions € par les contribuables et qui se révèlent inefficaces à la moindre pluie.

Il est temps de combler la fracture qui divise les pornichétins et qu’une consultation partisane risque d’aggraver.

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